Parfois

Parfois il me suffit de regarder le ciel,
Faire cesser le temps et vivre simplement,
Pour sentir qu’il n’y a pas de chose plus belle
Et qu’un frisson de joie m’agite au soir tombant.

Faire cesser le temps et vivre simplement,
Chaque fois que ma peau sous tes mains se rebelle
Et qu’un frisson de joie m’agite au soir tombant ;
Parfois je ne vibre que d’un amour charnel.

Chaque fois que ma peau sous tes mains se rebelle,
Je sens brûler mon corps d’un feu dense et ardent ;
Parfois je ne vibre que d’un amour charnel,
Mais c’est pour toi que bat mon cœur en ces instants.

Je sens brûler mon corps d’un feu dense et ardent
Quand je cours follement jusqu’à frémir de l’aile,
Mais c’est pour toi que bat mon cœur en ces instants
Et pour ceux grâce à qui mon sourire étincelle.

Quand je cours follement jusqu’à frémir de l’aile,
Je sens glisser sur moi les caresses du vent ;
Et pour ceux grâce à qui mon sourire étincelle,
J’invite les yeux purs à l’obscur firmament.

Je sens glisser sur moi les caresses du vent
Et ma vraie liberté comme un souffle ruisselle,
J’invite les yeux purs à l’obscur firmament ;
Parfois il me suffit de regarder le ciel.

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Un ciel lointain

Et je rêve d’un ciel lointain
Sans tes larmes ni ta douleur
Dans un monde sans lendemain
Et je t’aimerais à chaque heure

Sans tes larmes ni ta douleur
Embrassant une paix sans fin
Et je t’aimerais à chaque heure
Comme si je mourais demain

Embrassant une paix sans fin
Je te vivrais de tout mon cœur
Comme si je mourais demain
La pluie blanchirait ma noirceur

Je te vivrais de tout mon cœur
Et ton cœur serait mon destin
La pluie blanchirait ma noirceur
Mes yeux pleureraient ton chagrin

Et ton cœur serait mon destin
Blessure imprégnée de douceur
Mes yeux pleureraient ton chagrin
Je m’évadais dans ta splendeur

Blessure imprégnée de douceur
Un espoir de lier nos mains
Je m’évadais dans ta splendeur
Et je rêve d’un ciel lointain.

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Le Ciel de tes Yeux

Tout est si beau dans ton regard.
Tes yeux sont, ainsi que la nuit,
Un monde où mon âme s’égare ;
Ton ciel est si doux qu’il en luit.

Tes yeux sont, ainsi que la nuit,
Sublimes, et parfaits comme l’art ;
Ton ciel est si doux qu’il en luit,
Et seule la vie nous sépare.

Sublimes, et parfaits comme l’art,
Tes yeux sont l’abîme où je fuis ;
Et seule la vie nous sépare,
Ton aube étoilée m’éblouit.

Tes yeux sont l’abîme où je fuis,
Reflets de ton âme si rare ;
Ton aube étoilée m’éblouit,
Tout est si beau dans ton regard.

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Rêve solitaire

Comme un rêve qui s’étire sans fin,
Le tourment du passé sommeille encore.
Sa flamme a brûlé l’espoir de demain ;
Tout s’est éteint, et l’éclat de l’aurore.

Le tourment du passé sommeille encore,
Dans ce cœur où progresse le chagrin.
Tout s’est éteint, et l’éclat de l’aurore ;
La nuit a voilé nos tristes desseins.

Dans ce cœur où progresse le chagrin,
Les souvenirs restent purs comme l’or.
La nuit a voilé nos tristes desseins,
Et cette solitude nous dévore.

Les souvenirs restent purs comme l’or,
Reflets embrumés d’un faux écrivain.
Et cette solitude nous dévore,
Comme un rêve qui s’étire sans fin.

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