Le silence a marqué son empreinte éphémère
Un instant tu frémis, et le moment d’après
Les feux vous inondent, et la foule est si près
Que ton souffle est coupé sans plus trop de repères.
Le son emplit ton corps et voyage au travers
Par un flux d’allégresse où les masques se brisent
Connectant les danseurs dont l’esprit lâche prise
Et l’extase s’épand en un coup de tonnerre.
Et chaque battement de ton cœur en fusion
Se meut en souvenir enivré d’émotions,
Quand le moindre regard met à vif tes ardeurs.
L’euphorie monte encore et bientôt l’espoir vibre,
Dans la paix de l’union où les notes se meurent
Au rythme déchaîné de l’essor d’un cœur libre.