Entre toi et moi
Ni un son ni le silence
Ô, Magnificence
Les minutes passent
Capturant l’éternité
Que ta vie embrasse
Je me perds et si
Tu m’apparais ton sourire
Si doux m’envahit
Elle est plus qu’une réalité. Portant la beauté à travers le filtre de mes yeux, elle m’inonde de félicité. Elle n’est pas une étoile, elle est mon ciel tout entier.
Entre toi et moi
Ni un son ni le silence
Ô, Magnificence
Les minutes passent
Capturant l’éternité
Que ta vie embrasse
Je me perds et si
Tu m’apparais ton sourire
Si doux m’envahit
Et je rêve d’un ciel lointain
Sans tes larmes ni ta douleur
Dans un monde sans lendemain
Et je t’aimerais à chaque heure
Sans tes larmes ni ta douleur
Embrassant une paix sans fin
Et je t’aimerais à chaque heure
Comme si je mourais demain
Embrassant une paix sans fin
Je te vivrais de tout mon cœur
Comme si je mourais demain
La pluie blanchirait ma noirceur
Je te vivrais de tout mon cœur
Et ton cœur serait mon destin
La pluie blanchirait ma noirceur
Mes yeux pleureraient ton chagrin
Et ton cœur serait mon destin
Blessure imprégnée de douceur
Mes yeux pleureraient ton chagrin
Je m’évadais dans ta splendeur
Blessure imprégnée de douceur
Un espoir de lier nos mains
Je m’évadais dans ta splendeur
Et je rêve d’un ciel lointain.
Tout est si beau dans ton regard.
Tes yeux sont, ainsi que la nuit,
Un monde où mon âme s’égare ;
Ton ciel est si doux qu’il en luit.
Tes yeux sont, ainsi que la nuit,
Sublimes, et parfaits comme l’art ;
Ton ciel est si doux qu’il en luit,
Et seule la vie nous sépare.
Sublimes, et parfaits comme l’art,
Tes yeux sont l’abîme où je fuis ;
Et seule la vie nous sépare,
Ton aube étoilée m’éblouit.
Tes yeux sont l’abîme où je fuis,
Reflets de ton âme si rare ;
Ton aube étoilée m’éblouit,
Tout est si beau dans ton regard.
Ne peux-tu voir le paradis ?
Ne peux-tu sentir le clair de lune effleurer ta peau ?
Dans les ténèbres insondables, au creux de la nuit
Le silence a relayé la mélodie de tes mots.
Comme une plume virevoltant en cadence,
Mon cœur tremble sans espoir d’accalmie
S’élevant à l’horizon en une légère danse
Fragile et gracieuse, elle palpite de vie.
S’il le faut, je retiendrai mon souffle fugace
Pour que tu puisses respirer à ma place.
Ma colombe, dans un éclat de blancheur
Traverse l’aube sanglante lorsque point le jour
Et déchirant les toiles d’un rêve enchanteur,
Apporte à mon éveil la tendresse du retour.
Si près que nous parvient son arôme,
La mort vagabonde entre nos corps impuissants
De nous le destin n’a fait que des hommes
Mais ta présence a rendu le monde vivant.
En écoutant dans l’ombre, entends-tu
Les murmures incessants d’une âme éperdue ?
J’attends que le temps s’écoule et se déverse
Telles des larmes sillonnant les joues pâles
D’un enfant que la vérité bouleverse,
Et dont l’innocence abîmée n’a d’égal.
Plus profondément se creuse ma pensée,
Dans le havre paisible où flamboie le soleil
Ainsi qu’un sourire à la vue du tien prolongé
Si longtemps que le soir s’embrase de vermeil.
Chaque fois que le ciel se fissurera,
Chaque goutte de lumière tombera pour toi.