Blanche et douce colombe
Mes deux ailes se meurent
Et si les cieux m’effleurent
Je m’envole et retombe
Tout n’est plus insensé
La douleur qui m’étreint
Mon cœur qui t’appartient
Tout me tue désormais
L’abîme de la nuit
Semble si attirant
Et plonger dans le temps
Pour noircir ce qui luit
Et pourtant je me blesse
Égrenant les secondes
Qui m’éloignent du monde
Et je t’aime sans cesse