Les journées s’égrènent une à une comme une aiguille sur le cadran de notre existence. Et je ne compte plus le nombre de gouttes azurées qui tourbillonnent lorsque nous levons les yeux. Et je ne compte plus le nombre de sourires que je veux te faire parvenir.
Sous nos cils, la beauté vagabonde comme une lumière que nos sens à l’affût pourchassent. Et parfois, elle émerge au hasard et nous subjugue lorsque nous sommes contemplatives. Et parfois, j’ai l’impression qu’entre toi et moi résonne un chant différent, plus doux que la mélodie de la pluie.
Loading Likes...